Alice in Wonderland
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| # | Track | Duration | ||
|---|---|---|---|---|
| 1. | Alice's Theme | 5:07 | ||
| 2. | Little Alice | 1:34 | ||
| 3. | Proposal / Down the Hole | 2:58 | ||
| 4. | Doors | 1:51 | ||
| 5. | Drink Me | 2:48 | ||
| 6. | Into the Garden | 0:50 | ||
| 7. | Alice Reprise #1 | 0:26 | ||
| 8. | Bandersnatched | 2:42 | ||
| 9. | Finding Absolem | 2:41 | ||
| 10. | Alice Reprise #2 | 0:38 | ||
| 11. | The Cheshire Cat | 2:07 | ||
| 12. | Alice And Bayard's Journey | 4:04 | ||
| 13. | Alice Reprise #3 | 0:23 | ||
| 14. | Alice Escapes | 1:07 | ||
| 15. | The White Queen | 0:36 | ||
| 16. | Only A Dream | 1:25 | ||
| 17. | The Dungeon | 2:18 | ||
| 18. | Alice Decides | 3:14 | ||
| 19. | Alice Reprise #4 | 1:01 | ||
| 20. | Going To Battle | 2:41 | ||
| 21. | The Final Confrontation | 1:41 | ||
| 22. | Blood Of The Jabberwocky | 2:37 | ||
| 23. | Alice Returns | 3:14 | ||
| 24. | Alice Reprise #5 | 2:55 | ||
| 50:58 |
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ALICE AU PAYS DES MERVEILLES aura été un succès à bien des niveaux. Outre le défi technique et visuel cherchant à combiner prises de vues réelles et images de synthèses dans un souci de réalisme, le casting 5 étoiles et deux Oscars en poche (Meilleure Direction Artistique et Meilleurs Costumes), le film peut se vanter d’avoir fait exploser le box-office mondial ; allant jusqu’à devenir le plus gros succès de Tim Burton ! Néanmoins, la partie la plus excitante reste bien évidemment l’enrôlement de Danny Elfman dans cette nouvelle folie burtonienne ; après cinq années de césure collaborative. En effet, le duo fétiche ne s’était pas côtoyé depuis CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE en 2005 ; l’adaptation de la comédie musicale SWEENEY TODD n’usant que des musiques existantes de Stephen Sondheim.
Plus de 10 ans après la première écoute du thème d’ouverture, le ressenti reste inchangé : ces retrouvailles ont stimulé notre bon vieux Danny Elfman ! Porté par un chœur d’enfants angéliques et quelques clochettes, son 'Alice Theme' fait jaillir puissamment la féérie d'un univers aussi foldingue que son metteur en scène. Les paroles « Oh, Alice, dear where have you been ? So near, so far or in between ? » (que l’on peut traduire par « Oh ma chère Alice, où étais-tu ? Si proche, si loin ou entre les deux ? ») s’accompagnent de violons aventureux qui évoquent les péripéties qu’Alice s’apprête à vivre et de cuivres audacieux qui lui apportent une dimension plus épique. En seulement un morceau, Danny Elfman parvient à capter à la perfection l’onirisme de Lewis Carol ; l’auteur des livres, et ; une nouvelle fois, celui de Tim Burton. Un thème dont la version complète n’éclot qu’au moment du générique de fin, bien qu'il dévoile de très belles variations tout au long du film.
Le reste de la partition n'en demeure pas moins vibrant à l'instar des orchestrations amples de ‘Bandersnatched’, ‘Going to Battle’ ou encore ‘The Final Confrontation’, de véritables fresques épiques dans la bataille opposant Alice à la Reine Rouge. On peut le dire : Danny Elfman fait des merveilles !
David-Emmanuel - Le B.O.vore
Plus de 10 ans après la première écoute du thème d’ouverture, le ressenti reste inchangé : ces retrouvailles ont stimulé notre bon vieux Danny Elfman ! Porté par un chœur d’enfants angéliques et quelques clochettes, son 'Alice Theme' fait jaillir puissamment la féérie d'un univers aussi foldingue que son metteur en scène. Les paroles « Oh, Alice, dear where have you been ? So near, so far or in between ? » (que l’on peut traduire par « Oh ma chère Alice, où étais-tu ? Si proche, si loin ou entre les deux ? ») s’accompagnent de violons aventureux qui évoquent les péripéties qu’Alice s’apprête à vivre et de cuivres audacieux qui lui apportent une dimension plus épique. En seulement un morceau, Danny Elfman parvient à capter à la perfection l’onirisme de Lewis Carol ; l’auteur des livres, et ; une nouvelle fois, celui de Tim Burton. Un thème dont la version complète n’éclot qu’au moment du générique de fin, bien qu'il dévoile de très belles variations tout au long du film.
Le reste de la partition n'en demeure pas moins vibrant à l'instar des orchestrations amples de ‘Bandersnatched’, ‘Going to Battle’ ou encore ‘The Final Confrontation’, de véritables fresques épiques dans la bataille opposant Alice à la Reine Rouge. On peut le dire : Danny Elfman fait des merveilles !
David-Emmanuel - Le B.O.vore
Alice in Wonderland marque le grand retour du duo Burton/ Elfman.
Qui d’autre que Tim Burton pouvait mettre en image l’univers à la fois féerique, colorée et étrange d’Alice au pays des merveilles et qui d’autre que Danny Elfman pouvait mettre en musique cette univers foldingue et poétique ?
Sans aucun doute, le sommet de l’album se trouve dans son Main Title avec la première piste qu’est le « Alice’s Theme » .
Ledit thème est une véritable déflagration musicale, pur moment de jubilation ou s’entremêlent l’orchestre avec cordes et cuivres et un chœur chanté entonnant « Alice ! »
Martèlement de tambours, cuivres pétaradant et rugissant, sections de cordes virevoltant, chœur féerique ; le thème est une véritable balade dans l’univers magique et foldingue d’Alice.
Danny Elfman a livré avec ce « Alice’s Theme » sans aucun doute un de ses thèmes les plus virevoltant et les plus grandioses depuis longtemps. C’est une véritable décharge de folie et de poésie musicale qui s’abat sur nos oreilles !
Si le « Alice’s Theme » est un chef d’œuvre à lui tout seul, le reste de l’album sera malheureusement beaucoup plus sage et sans doute plus conventionnel mis à part quelques bonnes idées par ci, par là .
Le thème d’Alice sera utilisé plusieurs fois le long de l’album accompagnant ainsi le personnage principal jusqu’au bout de l’histoire.
On aurait aimé que le compositeur offre plusieurs thèmes, notamment un pour le chapelier fou ou encore pour la mauvaise reine ; au lieu de cela il se contente d’illustrer (habilement, certes!) les images du film .
Au final, le score d’ Alice in Wonderland vaut surtout pour son thème absolument génial qui montre une fois de plus, le talent unique de Danny Elfman à créer des thèmes mémorables et uniques. Le reste de l’album pourra au contraire quelque peut décevoir faute à un ensemble un peu illustratif et gentillet et à un manque de renouvellement du thème.
Qui d’autre que Tim Burton pouvait mettre en image l’univers à la fois féerique, colorée et étrange d’Alice au pays des merveilles et qui d’autre que Danny Elfman pouvait mettre en musique cette univers foldingue et poétique ?
Sans aucun doute, le sommet de l’album se trouve dans son Main Title avec la première piste qu’est le « Alice’s Theme » .
Ledit thème est une véritable déflagration musicale, pur moment de jubilation ou s’entremêlent l’orchestre avec cordes et cuivres et un chœur chanté entonnant « Alice ! »
Martèlement de tambours, cuivres pétaradant et rugissant, sections de cordes virevoltant, chœur féerique ; le thème est une véritable balade dans l’univers magique et foldingue d’Alice.
Danny Elfman a livré avec ce « Alice’s Theme » sans aucun doute un de ses thèmes les plus virevoltant et les plus grandioses depuis longtemps. C’est une véritable décharge de folie et de poésie musicale qui s’abat sur nos oreilles !
Si le « Alice’s Theme » est un chef d’œuvre à lui tout seul, le reste de l’album sera malheureusement beaucoup plus sage et sans doute plus conventionnel mis à part quelques bonnes idées par ci, par là .
Le thème d’Alice sera utilisé plusieurs fois le long de l’album accompagnant ainsi le personnage principal jusqu’au bout de l’histoire.
On aurait aimé que le compositeur offre plusieurs thèmes, notamment un pour le chapelier fou ou encore pour la mauvaise reine ; au lieu de cela il se contente d’illustrer (habilement, certes!) les images du film .
Au final, le score d’ Alice in Wonderland vaut surtout pour son thème absolument génial qui montre une fois de plus, le talent unique de Danny Elfman à créer des thèmes mémorables et uniques. Le reste de l’album pourra au contraire quelque peut décevoir faute à un ensemble un peu illustratif et gentillet et à un manque de renouvellement du thème.
Cette BO colle parfaitement a l'univers de Tim BURTON. Danny Elfmann signe là un belle BO, mais on aurait aimé avoir plusieurs thèmes développés et associés a chacun des personnages.
Le thème principal "alice" mélange innocence et mystère avec des choeurs qui nous invitent a entrer dans l'univers d'alice.
J'aime aussi "Doors" avec son utilisation particulière d'un synthétiseur, qui souligne l'étrangeté du thème.
En résumé, un belle BO de Dany Elfmann utilisant orchestre symphonique et choeurs qui restitue la magie de cette histoire, sans la transcender.
Le thème principal "alice" mélange innocence et mystère avec des choeurs qui nous invitent a entrer dans l'univers d'alice.
J'aime aussi "Doors" avec son utilisation particulière d'un synthétiseur, qui souligne l'étrangeté du thème.
En résumé, un belle BO de Dany Elfmann utilisant orchestre symphonique et choeurs qui restitue la magie de cette histoire, sans la transcender.
World Soundtrack Awards: Soundtrack Composer of the Year (Nominé)
Bande annonce:
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