Harry Potter and the Half-Blood Prince
(Harry Potter et le prince de sang-mêlé)


New Line Records (0602527105123)
Film | Date: 2009 | Sortie du film: 2009 | Type: CD, Téléchargement
 

Inscrivez-vous!

Restez informé et d'obtenir un meilleur accès aux informations des collectionneurs!





 

# Track   Duration
1.Opening2:54
2.In Noctem2:0
3.The Story Begins2:5
4.Ginny1:30
5.Snape & The Unbreakable Vow2:50
6.Wizard Wheezes1:42
7.Dumledore's Speech1:31
8.Living Death1:55
9.Into the Pensieve1:45
10.The Book1:44
11.Ron's Victory1:44
12.Harry & Hermione2:52
13.School!1:05
14.Malfoy's Mission2:53
15.The Slug Party2:11
16.Into the Rushes2:33
17.Farewell Aragog2:08
18.Dumbledore's Foreboding1:18
19.Of Love & War1:17
20.When Ginny Kissed Harry2:38
21.Slughorn's Confession3:33
22.Journey to the Cave3:08
23.The Drink of Despair2:44
24.Inferi in the Firestorm1:53
25.The Killing of Dumbledore3:34
26.Dumbledore's Farewell2:22
27.The Friends2:00
28.The Weasley Stomp2:51
 62:40
Introduisez votre critique Afficher les avis dans d'autres langues

 

Harry Potter and the Half-Blood Prince - 08/10 - Critique de Citizen Cancre, ajouté le
Harry Potter et le prince de sang-mêlé était sans conteste l'un des films les plus attendus de l'été 2009. Une attente d'autant plus longue que sa sortie initiale avait été prévue en novembre 2008, la Warner ayant justifié cette décision de repousser cette date par la volonté de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. En effet, le film The Dark Knight, sorti en salles durant l'été 2008, a été tellement ovationné, tant par le public que par la critique, qu'elle a préféré se garder Harry Potter 6 sous le coude en tant que futur grand succès annoncé de l'année 2009.

Pourtant, si le box-office n'a pas démenti la popularité du jeune sorcier à lunettes qui entamait là sa sixième année à l'école de sorcellerie Poudlard, cet épisode est loin d'être le plus apprécié. Le reproche principal est que le scénario se préoccupe plus des amourettes des héros que des intrigues autour du fameux Prince de Sang-Mêlé et de Voldemort. Rappelons au passage que le livre éponyme s'attardait longuement sur le passé de ce personnage et que le long-métrage n'en conserve que deux pauvres petites scènes, dont une figurant quasi-intégralement dans la bande-annonce !

La déception est donc assez importante pour le public, notamment avec l'impression persistante que Harry Potter 6 a voulu surfer sur la mode love story teenage instituée par Twilight (dont le premier épisode était sorti en janvier de la même année). Cependant, cela suffit-il à faire de Harry Potter et le prince de sang-mêlé un mauvais film ? Non, bien sûr que non. Harry Potter 6 fait sûrement partie de ces rares épisodes de la saga Harry Potter, avec le troisième (le prisonnier d'Azkaban) à bénéficier d'une identité filmique propre avec un soin particulier apporté aux décors, aux images et à la musique. Saluons d'ailleurs le splendide travail effectué par Bruno Delbonnel, le directeur de la photographie, un Français de surcroît ayant travaillé sur Le fabuleux destin d'Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet et dont la patte visuelle confère à 'HP6' un charme discret mais indéniable pour peu que l'on y prête attention.

A la réalisation retrouve-t-on David Yates, ce dernier ayant vraisemblablement pris davantage d'assurance depuis l'épisode précédent tant sa mise en scène paraît plus inspirée qu'auparavant. Quant à la musique, une nouvelle (et dernière fois) avons-nous droit à la présence de Nicholas Hooper à la baguette. Lui aussi a pris de la graine, et ce n'est pas plus mal. Ses compositions pour Harry Potter 5 étaient un peu cheap et mollassonnes ? Soit ! La musique de Harry Potter 6 ne pouvait être que mieux. Et c'est le cas. Heureusement.

Le CD et le film s'ouvrent sur le traditionnel 'Opening' où se fait discrètement entendre un petit 'Hedwig's Theme' rapidement détrôné par une mélodie élégiaque rappelant que l'épisode précédent se terminait tragiquement et qu'il en ira de même pour celui-ci. Une introduction assez étonnante qui, avec les images, donne un rendu superbe. Malheureusement, dès 1:15, Nicholas Hooper retombe dans ses traditionnels travers. La deuxième partie du 'Opening', bien qu'efficace à l'écran (la caméra suit les méfaits des fidèles de Voldemort semant la panique à Londres), sonne assez pauvre en comparaison de la première qui participe réellement à l'ambiance générale voulue pour ce sixième épisode, dominé par la tristesse, la nostalgie et la mélancolie... et, bien sûr, les ténèbres, comme l'illustre la piste suivante de l'album, 'In Noctem'.

http://www.youtube.com/watch?v=Duq8L4upevo&list=RDLqmAELCSmus

Pour la seconde fois dans la saga Harry Potter, nous avons droit à une chorale. Mise à profit pour la première fois et avec brio par John Williams à l'occasion de l'épisode 3 (le fameux 'Double Trouble'), la chorale de Poudlard fait son grand retour ici, à grands renforts de paroles chuchotées pour moitié en Latin et qui n'inspirent pas foncièrement la joie de vivre (on a affaire à une sorte de berceuse à tendance macabre).

Notons que Nicholas Hooper adopte ici une approche thématique plus poussée qu'auparavant. Le 'Opening' introduit deux thèmes (celui de Dumbledore et celui des Mangemorts) que l'on entendra à plusieurs reprises dans le film et sur le CD ('Dumbledore's Farewell' et 'Into The Rushes'). Il en va de même avec 'In Noctem' ('Dumbledore's Speech' et 'Dumbledore's Foreboding').

Egalement, l'autre thème majeur du film, mais qui ne fait l'objet que d'une unique piste sur l'album, est celui de Slughorn : 'Slughorn's Confession'. Un doux et petit motif de flûte accompagne à merveille ce personnage, ce dernier apparaissant beaucoup plus sympathique dans le film que dans le livre, et que l'on devine rongé par la culpabilité (et accessoirement doublé en français par le génial Roger Carel, excusez du peu !). Hooper a très bien su retranscrire l'essence de ce protagoniste dans cette musique tour à tour touchante, tendre et teintée d'une certaine bonhomie.

Enfin, autre thème récurrent dans le film (mais qui ne fait là aussi l'objet que d'une seule piste sur l'album), celui de 'The Drink Of Despair' qui se fait entendre dans les moments où Harry est complètement désœuvré (dans les toilettes après le duel avec Malefoy et dans la caverne quand Dumbledore se tord de douleur). Une piste assez inquiétante et qui met mal à l'aise avec ses cordes plaintives et ses sonorités torturées. Peut-être les scènes les plus glauques de la saga.

Mais la musique d'Harry Potter 6 n'est pas que tristesse et mélancolie ! Par contre, il faudra clairement faire une croix sur l'action. A l'exception de deux petites pistes relatives au quidditch qui reprennent au passage le thème du 'Quidditch, Third Year' du prisonnier d'Azkaban ('Ron's Victory' et 'Of Love And War'), tant la B.O. que le long-métrage jouent sur les ambiances et les relations entre les personnages. Ce qui n'est pas plus mal en fin de compte quand on sait ce qui attend nos héros dans le diptyque Harry Potter 7.

Avant cela, Harry Potter 6 met l'accent sur les amourettes de Harry, Ron et Hermione, et ce ne sont pas les nombreuses pistes du CD s'y référant qui diront le contraire ! 'Ginny' introduit le Love Theme du film dans ses trente premières secondes avant d'embrayer sur une reprise extrêmement classique du 'Hedwig's Theme'. La piste phare dans le domaine reste bien sûr 'Harry and Hermione', suivie de très près par 'When Harry kissed Ginny' et sa guitare romantique. Au passage, poussons un gros coup de gueule concernant les titres des pistes des B.O. Harry Potter qui, depuis le quatrième épisode, racontent quasiment toute l'intrigue des livres et films ('X's death'). Merci pour ceux qui n'ont pas lu les pavés !

Autrement, comme à son habitude, Hooper livre de bonnes compositions comiques et légères (dans l'esprit du 'Professor Umbridge' de Harry Potter 5), que cela soit 'Living Death' pour l'amusante scène du cours de potions, 'Slug Party' et ses rythmes jazzies, la deuxième partie de 'The Book' où Harry est sous l'influence d'une potion qui n'est pas sans rappeler un état d'ébriété, le furtif 'School!' et enfin les endiablés et irish 'Wizard Wheezes' et 'The Weasley Stomp' qui, de manière surprenante et regrettable, ne sont pas utilisés dans le film (mais on devine qu'il s'agit de l'hymne du magasin de farces et attrapes des jumeaux Weasley qui, dans le film, est rythmé par la piste 'Fireworks' de Harry Potter and the Order of the Phoenix).

http://www.youtube.com/watch?v=LqmAELCSmus

En parlant d'irish, ne passons pas sous silence le solennel et réussi ode funèbre, 'Farewell Aragog' qui, couplé avec les images de toute beauté de Bruno Delbonnel, donne lieu à une jolie scène très carte postale (Slughorn prononce un discours tandis que Hagrid pleure et que Harry compatit à la douleur de son grand ami).

Enfin, on attaque la pièce de résistance avec sept pistes situées vers la fin de l'album, allant de 'Journey To The Cave' à 'The Friends' et qui accompagnent le final de ce sixième long-métrage. On déplorera en passant le fait que certaines musiques entendues dans le film ne figurent, une nouvelle fois, pas sur le CD (à quand des éditions plus complètes, bon sang ?!!), en particulier la fuite des Mangemorts guidés par le fameux Prince de Sang-Mêlé...

Nous avons déjà évoqué le poignant 'The Drink Of Despair' mais s'il y a bien une seule et unique piste qui résume toute la B.O. de Harry Potter 6, c'est sans conteste 'Dumbledore's Farewell'. Celle-ci fera d'ailleurs une petite apparition 'caméo' dans la musique du huitième et dernier film (mais pas dans l'album encore une fois !) lors d'un flashback relatif à Dumbledore.

Et pendant que nous en sommes aux incontournables de l'album, nous apprécierons aussi 'Malfoy's Mission' qui permet d'entremêler le thème des Mangemorts à un sombre petit motif de flûte et de piano associé à Drago Malefoy pour les scènes où il déambule dans le château tel une âme en peine chargée d'une inquiétante mission (d'où le titre).

Pour résumer, le bilan est plus que positif concernant la musique de Harry Potter and the Half-Blood Prince. Nicholas Hooper cède de temps en temps aux travers qui ont agacé dans la B.O. de l'opus précédent mais un réel effort a été fait ici. Bien qu'extrêmement critiqué en terme d'adaptation, ce sixième épisode n'en demeure pas moins un bon film, bien construit, bien réalisé, bien interprété, et sûrement l'un de ceux dont les identités visuelle et musicale sont les plus en symbiose, derrière Harry Potter and the prisoner of Azkaban.
Harry Potter and the Half-Blood Prince - 07/10 - Critique de Marc Chauvin, ajouté le
(Attention, cette critique contient un Spoiler !)

Nicholas Hopper rempile donc pour une deuxième fois sous l’impulsion du même réalisateur David Yates .
L’idée de retrouver Nicholas Hooper pour ce nouvel opus musical n’avait rien de vraiment emballant pour être tout à fait honnête, car son Harry Potter and the Order Of Phenix manquait cruellement d‘inspiration, de souffle et de magie ! Sans être non plus catastrophique, sa partition n’était pas ceci dit une réussite. Perdue, la magie et l’univers d’Harry Potter au détriment d’un score sans réelle épaisseur et sans réelle idées musicales.
Il faut dire que jusqu’à présent, le compositeur n’avait écrit que pour des documentaires et des téléfilms, ce qui ne le prédestinait en rien à composer pour ce genre de production. Cela me mène à dire que Nicolas Hooper n’était pas le compositeur qu’il fallait pour Harry Potter ! Cette déclaration ne prétend pas que Monsieur Hooper est un mauvais compositeur mais montre les insuffisances et les limites d’un artiste qui ne correspondait pas au projet .
Alors, que dire de ce nouvel opus musical d’Harry Potter mis en musique par Nicolas Hooper ?
Et bien, sans sauter à pieds joints ou tomber à genoux, il semble que le compositeur ait fait un réel effort depuis son précédent score pour Harry Potter. La première constatation que l’on peut faire, est que l’inspiration qui faisait défaut avant, à été réparé.
Le traitement musical est donc plus approfondi, rehaussé par une partition plus colorée et introspective.
L’ambiance générale de ce nouveau score se veut résolument sombre et mystérieux illustrés dès la première piste qui mise sur l’idée de la menace.

Dans « In Noctem », Nicholas Hooper introduit un chœur d’enfants (chantant un texte en latin) aux accents funèbres et mystérieux assez réussie. « In Noctem » est en fait représentatif de ce qui semble être une des bonnes surprises de ce score , à savoir l’utilisation d’un chœur apportant un impact émotionnel et sensitif indéniable à l’image.
C’est uniquement à partir de la piste 4 « Ginny » que l’on peut entendre le fameux thème d’Harry Potter composé par John Williams. Nicholas Hooper en fera une légère petite variation vers la fin.
Dans « Whizard Wheezes » le compositeur se « lâche » en introduisant une ambiance totalement jazzy/swing assez rythmée. Le procédée est sympathique et honorable mais un peu scolaire.

Les passages les plus réussis de l’album concernent les moments intimes entre les personnages , que cela soit dans « Harry and Hermione » ou « When Ginny Kissed Harry ». Nicholas Hopper propose des morceaux délicats et subtils empreints d’une certaine émotion. Cela sera aussi le cas avec l’assez beau « The friends », un passage à la fois émouvant et lumineux plutôt gracieux. Un autre morceau assez intéressant vient conforter le tout avec « Farewell Aragog ». Le compositeur délivre un passage empreint de solennité.

Dans au autre registre, si Nicholas Hooper arrive à installer une ambiance sombre et tendue pour certaines pistes, elles manquent cependant véritablement d’ampleur. En effet, la plupart de ces morceaux ne présentent aucune réelle progression dramatique et aucun véritable déchaînement orchestral vient clore l’affaire. On retiendra cependant certaines pistes assez bien foutue comme « Inferi in the Firestorm » sans doute, un des morceaux les plus flippant de tout le score ou encore « Into the Pensieve » .

Au final, Harry Potter and the Half-Blood Prince s’avère être une bonne surprise comparé au précédent Order of Phénix ! La partition de Nicholas Hooper est bien plus travaillée et ambitieuse et dévoile tout un panel de couleurs et d’émotions. Le compositeur a su capter l’ambiance et l’atmosphère régnant dans le film.
Ceci étant dit, on pourra regretter tout de même un score qui ne décolle jamais vraiment, faute à des thèmes et des mélodies qui restent trop en surface car pas développés (Il faut dire que la plupart des pistes ne dépassent pas 2 minutes ). Le compositeur se contente juste d’appliquer ses mélodies sans leur donner le souffle et le développement nécessaire. Il aurait fallu que Nicholas Hooper les fasse évoluer et leur donner ainsi une plus grande ampleur, ce qui aurait grandement apporté un impact émotionnel en plus à des scènes d’actions et dramatiques capitales .Je pense notamment à la scène de la mort de Dumbledore. Si, musicalement, l’émotion est là, cela reste timide. Du coup, au lieu d’avoir un score aux accents réellement dense et épique, on reste plus dans un cadre parfois « monotone ».
On aurait aimé aussi entendre de vrais thèmes mémorables, de vrais thèmes symphoniques et grandioses ce qui n’est pas vraiment le cas à l’écoute de cette partition un peu trop « sobre » pour ce genre de production.
Ces dernières réserves ne doivent pas ceci dit gâcher l’écoute de cette partition intéressante et vraiment honnête, qui à l’image du film, se fixe sur une approche plus adulte et plus moderne .

On attends donc de pied ferme Nicholas Hooper pour les deux prochains films Harry Potter, en espérant qu’il continue sur cette lancée et surtout qu’il crée enfin une véritable œuvre symphonique qui s’impose ! Une œuvre qui en ait quand même un peu plus dans les tripes !
Harry Potter and the Half-Blood Prince - 10/10 - Critique de Matys Mith, ajouté le
Quand j'ai su que Nicholas Hooper allait s'atteler sur un nouvel Harry Potter, je me suis tout de suite dit que ça allait être meilleur que L'Ordre du Phénix. Il est que certaines orchestrations du 5ème film n'étaient pas assez riches au point même de sous-estimer certaines images...
Mais sur le Prince de Sang-Mêlé, Hooper ne refait pas la même erreur. Dès la première écoute, on sent que le compositeur a mûrit et qu'il mérite sa place parmi les meilleurs compositeurs de notre temps.

Dans 'Opening', on entend le 'Hedwig theme' de John Williams joué par un célesta qui rappelle les B.O de Williams sur les premiers films. Viennent ensuite les cordes mélancoliques illustrant l'atmosphère de cette nouvelle aventure: angoissante et annonciatrice d'événements pas très joyeux...Il y a même un coeur d'enfants,ce qui icontestablemen une nouveauté chez Hooper qui dans le précédant film nous avait habitué à ces coeurs tantôt graves tantôt aigus d'adultes. Les frottements de cordes (très fréquent chez Hooper) sot alors suivis de percussions massives et d'un thème pour les Mangemorts dévastant l'un des ponts de Londres. Rien que cette piste prouve que l'on ne sera pas déçu pour les morceaux avenirs.

'In Noctem',le thème de Dumbledore, est mystérieux, mélancolique et est proche du 'Libera Me' de Verdi annonçant la mort prochaine de Dumbledore et l'effet dévastateur que çela aura sur Harry. Ce thème sera repris dans 'Dumbledore's Speech', 'Dumbledore's Foreboding', 'Journey to the Cave' et 'Farewell to Dumbledore'

On n'a un thème de l'amour pour Ron et Hermione dans 'Ginny', 'Harry and Hermione' et même dans 'Of Love and War'. On n'en a une autre valsique dans 'When Ginny Kissed Harry'.

Certains passages comme 'School', ' Living Death' font oublier un moment l'atmosphère sombre de l'histoire.

Les morceaux d'actions 'Ron's Victory', 'Inferi in a fiestorm' montrent que ce Hooper est plus évolué que celui d'HP5.

'The Killing of Dumbledore' est la perfection absolue...cela dit, dommage qu'il s'arrête seulement où Rogue arrive dans la scène du film.

'The Friends', et 'The Weasley Stomp' concluent magnifiquement cet album qui est LE chef-d'oeuvre de Nicholas Hooper qui j'espère nous en offrira d'autres.
Harry Potter and the Half-Blood Prince - 06/10 - Critique de Michel Gregoire, ajouté le
BO efficace mais sans grande originalité, si l'on considère le manque de thèmes.
La BO est donc bien orchestrée mais sans grande magie: ce qui est un comble pour un film d'harry potter.
Bande annonce:



La bande annonce de cette B.O. contient de la musique de:

With An Iron Fist (No Choir), Immediate Music (Bande annonce)
With An Iron Fist (Choir), Immediate Music (Bande annonce)
Prologue, Immediate Music (Bande annonce)
Prometheus Rising, Immediate Music (Bande annonce)
Imminent Domination, X-Ray Dog (Bande annonce)
Original Trailer Music, X-Ray Dog (Bande annonce)


Autres sorties de musique de Harry Potter and the Half-Blood Prince (2009):

Harry Potter and the Half-Blood Prince (2009)

Bandes Originales de la collection: Harry Potter

Harry Potter and the Order of the Phoenix (2007)
Harry Potter and the Philosopher's Stone (2001)
Harry Potter and the Half-Blood Prince (2009)
Music from the Harry Potter Films (2006)
Harry Potter (2002)
Harry Potter and the Sorcerer's Stone (2001)
Harry Potter and the Goblet of Fire (2005)
Harry Potter and the Order of the Phoenix (2007)
Harry Potter and the Sorcerer's Stone (2001)
Harry Potter and the Chamber of Secrets (2002)


Signaler une erreur ou envoyer des infos supplémentaires!: Connexion

 



Plus